1 million de candidats chaque année, il est synonyme de
liberté, d’indépendance, s’obtient fingers in the nose ou
avec beaucoup de difficultés, les forfaits explosent, les prix à l’heure sont
exorbitants, je parle évidemment du Permis de Conduire.
Inutile d’écrire tout un paragraphe sur le papier rose (qui
n’en sera désormais plus un), tous ou presque y sommes passés. Code, conduite
accompagnée, conduite supervisée, heures de conduites avec un moniteur, avis favorable,
défavorable, ajournements, réussite,
champagne… Chacun a sa façon d’aborder le permis de conduire, certains l’ont d’autres
non. Mais il n’en reste pas moins que le problème majeur des étudiants, après
le manque de temps pour se former durant leurs études, reste le coût de
celui-ci, et les délais interminables.
Qui n’a pas connu ou ne connait pas quelqu’un qui a traversé
ce parcours : six mois avant d’avoir une date. L’échec. 4 mois avant d’avoir à nouveau une
date. Et l’excuse « il n’y a pas de place pour toi à la préfecture… »
Le permis, une « machine à fric », un « business
bien organisé » ? 4000€ pour obtenir son permis à trois essais, ça
pique.
Généralement, les plus heureux seraient ceux venant d’une
formation en conduite accompagnée, moins couteux, plus de chances de réussir…
Pour tenter de
simplifier la procédure, des députés ont proposé d’instaurer un système de
permis probatoire délivré par des organismes privé.
Il s'agirait d'un «permis probatoire» qui, pour une durée de
deux ans, délivré pour une somme équivalente à une heure de conduite. Passé ce
laps de temps, ce permis temporaire devrait être automatiquement confirmé en
permis jeune si son titulaire n'a commis
aucune infraction. Dans le cas contraire, ce dernier devrait repasser l'examen
auprès d'un inspecteur d'État. Ce dispositif, permettrait de désengorger les
auto-écoles et devrait revaloriser le rôle des inspecteurs auto-école.
Manon J.
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